Bienvenue au cœur battant de Béthylac.
Sur les hauteurs du Picou, dans un paysage de vent, de pierre et de silence, s’étend un sanctuaire de plein air : le Jardin Vulvolithique. Plus de mille vulves y furent gravées dans la roche entre 2007 et 2022, dans un geste artistique et rituel, dédié à la puissance créatrice du féminin. C’est ici qu’est née la Nation Vulvolithique de Béthylac, patrie symbolique de la vulvographie.














Un jardin blessé, mais toujours debout.
Le lieu reste accessible, mais une grande partie des œuvres a été détruite par les autorités en 2024. Subsistent quelques grandes pierres sculptées, isolées, témoins muets d’un ensemble aujourd’hui disparu. Le jardin n’a plus son éclat d’origine, mais il garde sa charge symbolique intacte – dans les pierres restantes, les paysages, les souvenirs. Béthylac vit encore, dans les corps, les mythes, et les actes de résistance.
